Actualités

Revue de presse Février

Mercredi, 20 février, 2019 - 12:00

Spécificités méthodologiques d’évaluation clinique des Dispositifs Médicaux Connectés
Date de validation Janvier 2019
Ce projet a conduit à l’élaboration de 2 documents complémentaires : Un guide à visée didactique destiné à aider les entreprises qui fabriquent ou exploitent des DMC à anticiper les exigences cliniques requises par la CNEDiMTS pour déterminer l’intérêt d’un DMC en vue de sa prise en charge par la solidarité nationale. Le rapport d’élaboration de ce guide intégrant l’analyse de la littérature, les données des autres agences d’évaluation (réseau INaHTA), les dossiers des DMC déjà évalués par la CNEDiMTS, les schémas d’études recensés sur les bases de données d’essais cliniques, la consultation des diverses parties prenantes ainsi la position d’un groupe de travail multidisciplinaire mobilisé sur cette thématique.
https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2845863/fr/specificites-methodol...

Le Cnom publie un livre blanc et 33 propositions pour soutenir le développement d’une société numérique au service des soignants et des patients
https://www.conseil-national.medecin.fr/node/2563

La santé connectée analysée sur YouTube par l'université Paris-Diderot Trois émissions sont actuellement disponibles sur la chaîne YouTube "PUMS-univ": - Peut-on soigner le diabète par la santé connectée - Pour une grossesse au top! - Comment se soigner avec l'activité physique
https://www.ticsante.com/story.php?story=4463

A la demande du Ministère et de la CNSA, l’ASIP Santé organise la certification pour les hébergeurs de données de santé, tout comme les labels et certification associés aux logiciels métiers utilisés en maisons de santé pluri-professionnelles et en centres de santé (label e-santé), dans les maisons départementales des personnes handicapées (label SI commun MDPH) et dans les établissements de santé (certification qualité Hôpital Numérique).
https://esante.gouv.fr/labels-certifications

La Commission européenne a adopté le 6 février une recommandation relative à la création d'un système européen d'échange des dossiers de santé informatisés des patients pour permettre "de manière sûre, interopérable et transfrontalière" un accès aux données électroniques de santé et l’échange de celles-ci dans l'Union européenne (UE).
https://www.ticsante.com/story.php?story=4458

Revue de presse Janvier

Mercredi, 30 janvier, 2019 - 08:30

La télémédecine pourrait faire économiser 356 millions d'euros par an dans trois pathologies (Leem)
L'étude a été réalisée "en vie réelle" avec l’identification, pour chacune des trois pathologies modélisées, des actes susceptibles d’être pratiqués par la télémédecine et, au total, ce sont 356 millions d'euros d'économies qui pourraient être réalisées en une année.
Cela représente une réduction de 6% à 21% du coût de prise en charge des patients.
Dans l'hypertension artérielle (près de 1,63 million de patients sous contrôle depuis au moins six mois), la télésurveillance permettrait une économie de 197 euros par personne et par an (322 millions d'euros au total), soit une économie correspondant à 14% de la dépense actuelle.
Concernant les près de 6.700 patients opérés d'un cancer de la prostate "depuis plus de 90 jours et moins d'un an", la téléconsultation avec un urologue permettrait de faire économiser à l'assurance maladie près de 4,3 millions d'euros, soit 160 euros par patient, par rapport à une consultation "physique".
Enfin, concernant la télémédecine dans le cadre de la prise du diabète de type 2, l'étude a porté sur une complication du diabète touchant près de 15.000 patients : la rétinopathie. Ici, c'est la télé-expertise (envoi d'images de la rétine par voie électronique) qui a été privilégiée.
https://www.ticsante.com/story.php?story=4396

Sortir l'e-santé du paradoxe en 2019
Une nouvelle année s'ouvre mais de nombreux défis perdurent pour le secteur de l'e-santé. Si les technologies informatiques n'ont de cesse de progresser, avec l'émergence confirmée en 2018 des outils d'intelligence artificielle (IA), des traitements de données à grande échelle et des "compagnons digitaux" pour les patients, elles peinent encore à voir leurs usages se démocratiser et à trouver un modèle économique pérenne. Il en découle une situation paradoxale, où les sociétés spécialisées dans l'informatique de santé ont connu une année rouge à la Bourse de Paris, alors même que le numérique n'a jamais semblé aussi utile pour sécuriser le développement, la diffusion et l'administration des produits de santé et des soins. En témoigne l'expérience de l'éditeur de "thérapies digitales" Voluntis, dont le cours de l'action a dévissé de 64,4% à 4,99 euros entre son introduction en Bourse en mai et fin décembre. A l'aube d'une nouvelle année, on ne peut qu'espérer qu'en 2019, les balbutiements de l'e-santé se transformeront en une vague de nouveaux usages, guidés par l'éthique médicale, le respect des données confidentielles des patients et la performance du système de santé. Du remboursement de la télémédecine à la création du Health Data Hub, les engagements de l'exécutif en faveur de la santé digitale ont été importants l'an dernier. Reste à les tenir sur le long terme et à accompagner tous les acteurs, professionnels de santé, patients et industriels, sur ce chemin. Belle année 2019 à tous!

— RAPHAEL MOREA
https://www.ticpharma.com/mmail.php?msjeton=Qwvp3bx2FF6ncxhpIUxfhK1EtAF9...

Une Académie francophone de télémédecine et e-santé voit le jour
L'objectif de la nouvelle instance est "d'œuvrer en soutien à l'Académie nationale de médecine dans le domaine de l'apport des nouvelles technologies à la santé". Elle réunit de "grands professionnels, praticiens expérimentés reconnus" du domaine de la télémédecine, "dans un esprit de confiance (partage des capacités de chacun au bénéfice de tous)".
https://www.ticsante.com/story.php?story=4401

CES 2019: revue des technologies qui vont stimuler l'essor du numérique en santé
Après l'essor des wearables (dispositifs connectés que l'on peut porter sur soi) dans les années 2010, les insideables (dispositifs connectés que l'on ingère ou que l'on greffe dans le corps d'un patient pour mesurer en continu plusieurs constantes physiologiques) devraient se développer largement.
L'un des principaux défis soulignés par Daniel Kraft, directeur de la chaire de médecine et de neurosciences de la Singularity University de Californie, sera la capacité des systèmes de santé à intégrer ces technologies, et à trouver "le bon mélange entre ce que les technologies peuvent faire et ce que l'humain fait déjà bien".
https://www.ticsante.com/story.php?story=4408

CES 2019 : Charlie, le robot médical qui veut faciliter les échanges entre patients et équipes de soins
Le robot Charlie a été présenté par le Dr Nicolas Homehr, médecin généraliste à Lherm (Haute-Garonne) et fondateur de New Health Community, comme "le premier robot médical interactif et autonome qui entend faciliter les interactions entre infirmières, médecins et patients".
https://www.ticsante.com/story.php?story=4411

        
L'avant-projet de loi de santé définit la pratique de "télésoin"
L'avant-projet de loi "relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé", actuellement soumis à consultation, définit la pratique de "télésoin", qui met en relation un patient avec un pharmacien d'officine ou un professionnel de santé paramédical.
https://www.ticsante.com/story.php?story=4418
    
 
Avant-projet de loi de santé: l'encadrement de l'e-prescription se fera par voie d'ordonnance
L'avant-projet de loi "relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé" prévoit d'habiliter le gouvernement à prendre des ordonnances afin de généraliser par étapes la prescription électronique (e-prescription).
https://www.ticsante.com/story.php?story=4419

A new voice for promoting digital technologies in health practice worldwide
https://www.thelancet.com/digital-health

 

Revue de presse Décembre

Mardi, 18 décembre, 2018 - 11:15

L'URPS médecins libéraux d'Auvergne-Rhône-Alpes ouvre sa plateforme de prise de rendez-vous en ligne
Les médecins qui y adhèrent bénéficient par ailleurs d'une inscription automatique au réseau social pour les professionnels de santé (RSPS), lancé en 2016 par l'URPS dans le cadre du programme Territoire de soins numérique (TSN) (voir dépêche du 19 février 2018).
Dans le cadre du programme TSN, l'URPS a également développé un carnet de vaccination électronique et une plateforme de recueil des données pour le suivi des patients insuffisants cardiaques et obèses, rappelle-t-on

http://www.ticsante.com/story.php?story=4365&mjeton=alWUytSXA2XeLaaGM5_oh3-JrzAwU3DygwKizJW4xITBx-3j6n75F1lz9ymVlMwlxmICmZZrdntW17ta5_Nys7WTbEMjYEDm&owner=5452447

Baromètre numérique 2018

La santé à l’ère numérique : un fort potentiel de développement Une personne sur deux utilise internet pour rechercher des informations sur sa santé ou celle de ses proches (+9 points en 3 ans). 37 % de la population (46% des 18-24 ans) est prête à améliorer ses habitudes de vie, à communiquer avec son médecin ou à contrôler son état de santé grâce au numérique. Les marges de développement des usages numériques en santé sont donc importantes, en particulier chez les jeunes adultes.
https://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/dossier-de-presse_barometre-du-numerique-2018_031218.pdf

Detection allergène 
Fondée en 2013, Nima propose une solution permettant de tester des aliments pour détecte la présence d’allergènes : l’arachide et le gluten. Disponible depuis deux ans aux Etats-Unis, le testeur d’arachide portable arrive en France et sera suivi début 2019 par celui dédié au gluten.  
https://www.usine-digitale.fr/article/nima-testeur-portable-pour-les-allergies.N777094

Siemens Healthineers dévoile ses dernières innovations en radiologie et IA (congrès RSNA)
Assistant intelligent, AI-Pathway Companion* a également été présenté à Chicago. Ce système d'aide à la décision clinique accompagne le médecin dans sa prise de décisions diagnostiques et thérapeutiques.
Ces deux innovations devraient faire leur entrée dans les hôpitaux français "courant 2019".
https://www.ticsante.com/story.php?story=4369

2e Forum Derm@to Connecté
http://dermaconnect.fr/medias/files/programmeA4.pdf

Magniense a obtenu le marquage CE
A partir d'un prélèvement ou d'une goutte de sang prise sur le bout du doigt, l'utilisateur peut réaliser "trois tests en 15 minutes, sans maintenance et avec une autocalibration en continu des lecteurs", a-t-elle précisé. Le dosage peut être réalisé n'importe où, et les résultats sont envoyés à l'hôpital, au biologiste ou au médecin via un réseau Ethernet ou la 4G.
L'un des avantages du dispositif mis en avant par Lyse Santoro est qu'il ne contient "que de l'électronique. "Il n'y a pas de moteur, pas de fluide, pas de laser. C'est ce qui le rend robuste et simple d'utilisation", a-t-elle relevé.
Magnisense a déjà obtenu le marquage CE et le remboursement pour deux tests mobiles et connectés pour le diagnostic de l'infarctus du myocarde et de l'insuffisance cardiaque aiguë.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=748

CCNE position sur la santé numérique
Les algorithmes, même s'ils sont régulièrement dépeints comme des vecteurs d'optimisation des parcours de santé, doivent encore "gagner la confiance" des professionnels de santé et des patients.
Pour rappel, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), a préconisé d'inscrire dans la prochaine loi de bioéthique un principe de "garantie humaine du numérique en santé", qui pourrait être assurée par des procédés de vérification régulière "ciblée et aléatoire" des options de prise en charge proposées par les dispositifs numériques, et par un "deuxième regard médical humain" à la demande du patient ou du professionnel de santé (voir dépêche TICsanté du 27 novembre 2018).
http://www.ticsante.com/story.php?story=4363&mjeton=alWUytSXA2XeLaaGM5_oh3-JrzAwU3DygwKizJW4xITBx-3j6n75F1lz9ymVlMwlxmICmZZrdnue6BINne25MbWTbEMjYEDm&owner=5457502

CPS intégré au smartphone
Alors que la CPS a soufflé sa vingtième bougie en 2018, l'Asip santé travaille actuellement à sa "modernisation" via un "CPS wallet intégré au smartphone du professionnel", a-t-on appris lors de la Matinale de l'ordre des infirmiers du 4 décembre.
"Nous comptons 1,3 million de cartes CPS en circulation aujourd'hui, 600.000 cartes sont utilisées pour faire des feuilles de soin et près de 600.000 autres servent à faire de l'authentification ou de la signature électronique", a précisé Jean-François Parguet, directeur du pôle "urbanisation et services de confiance" de l'Asip santé
http://www.ticsante.com/story.php?story=4377&mjeton=alWUytSXA2XeLaaGM5_oh3-JrzAwU3DygwKizJW4xITBx-3j6n75F1lz9ymVlMwlxmICmZZrdntH0eTQwGNVF7WTbEMjYEDm&owner=5478933

Information médicale : impact du digital sur la pratique des médecins
La FNIM (Fédération nationale de l’information médicale) avec le soutien du SPEPS (Syndicat de la Presse et de l’Édition des Professions de Santé) a mené une étude sur l’impact de l’information médicale sur la pratique des médecins. Découverte.
https://buzz-esante.fr/information-medicale-impact-du-digital-sur-la-pratique-des-medecins/